Quand on parle d’usages…
On se réfère bien sûr aux usages qui se sont développés dans le sillage du web et des smartphones, et qu’on voit se prolonger dans le champ du Digital Learning : priorité donnée à la vidéo, à des séquences e-learning de plus en plus courtes, échanges virtuels en live ou non… La formation a en effet tout intérêt à capitaliser sur ces nouveaux modes de consommation, déjà pré vendus aux salariés. C’est cette préoccupation d’accessibilité, de convivialité qui doit guider le choix des outils ; une préoccupation qui englobe les formateurs et les administrateurs de plateforme : aucune raison pour qu’ils soient plus mal lotis que les apprenants ! A quand, par exemple, une possibilité d’administration digne de ce nom accessible depuis une tablette ou un smartphone ?
La rencontre de l'offre et la demande
Comment la plateforme LMS se transforme sous nos yeux en portail(s) de formation à même de séduire des utilisateurs qui restaient jusqu’alors rétifs, comment l’offre des principaux éditeurs converge avec la demande des entreprises et des salariés (alignement de l'offre et de la demande), comment organiser son projet LMS… Ce sont des questions clés dans la réussite du Digital Learning dans l'entreprise, dans la mesure où un projet de plateforme est toujours une co-production de l’entreprise et de l’éditeur, dans la mesure aussi où les rissques de malentendu sont nombreux et souvent source d’un échec coûteux. C'est pourquoi ces thèmes seront au centre du Séminaire Féfaur “Construire et exploiter votre plateforme Digital Learning”, le 16 juin à Paris, où sont attendus une centaine de décideurs formation-RH. Nouveau jalon dans le développement d'une meilleure compréhension entre l'offre et la demande, qui est l'une des missions de Féfaur, en cohérence avec ses activités d’analyse et d'aide au référencement auprès des services formation et achat des plus grandes entreprises européennes.
Concilier ROI et innovation
Les questions qui se posent aujourd’hui aux équipes formation-RH sont à la fois pratiques et urgentes, la pression digitale commençant à grimper rapidement un peu partout dans les entreprises. Questions portant sur les coûts réels, sur le ROI, auxquelles il faut bien répondre quand elles sont posées par les financiers ! C’est un objectif du Séminaire : aider concrètement les décideurs à passer à l’action, en leur apportant les éléments qui leur permettent de calculer leur budget plateforme et outil auteur… Et bien sûr les arguments pour défendre ce budget ! Quant à l’innovation, il semble qu’elle coule maintenant à flot continue, et qu’elle fasse tourner quelques têtes : tout le “jeu”, pour un responsable, consiste à trouver la bonne distance entre les innovations qui créent vraiment de la valeur, ce qui suppose un recul qui manque souvent, et celles qui ont une forte probabilité d’échouer si le contexte de l’entreprise ne s’y prête pas ou si elles sont par trop fantaisistes. Faut-il innover ? Certainement ! Dans quelle direction, pour quels résultats, avec quels moyens ? Les responsables formation doivent répondre à ces questions, précisément, clairement. Un bel exercice auquel ils se livreront le 16 juin.
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