IOBSP pour «Intermédiaires en Opérations de Banque et en Services de Paiement», lesquels devront justifier d’une formation spécifique à partir du mois de janvier… L’offre blended learning de Babylon.fr y veille…
Le dossier est accablant… Il faudra toujours plus montrer patte blanche pour exercer son métier ! En l’occurrence, rien que de très normal : certains s’étonneront au contraire qu’il n’ait pas fallu justifier de ce diplôme, ou de cette formation spécifique, qui sera dorénavant obligatoire pour être inscrit en tant qu’IOBSP sur à l’ORIAS (registre unique des intermédiaires en assurance).
Formation accélérée donc, pour obtenir cette inscription : les impétrants pourront suivre le parcours blended learning proposé par Babylon.fr, un offreur de formation qui œuvre depuis 20 ans dans le domaine de la banque et de la finance. Cette formation est obligatoire ; d’autres organismes la proposent aussi, chacun avec sa démarche propre, mais prenant en compte les contraintes fixées : une durée de 150 heures au plus (l’équivalent de 21 jours de formation présentielle) pour le premier niveau et de 80 heures pour le second niveau. Qu’il faille seulement suivre l’un ou l’autre de ces deux niveaux ne change pas grand chose : on voit mal comment les 21 ou les 10 jours pourraient être trouvés aussi rapidement par des professionnels en activité.
L’offre blended learning de Babylon.fr constitue une solution élégante - efficiente et à moindre coût - au problème, tout en respectant le programme visé qui figure dans l’arrêté du 4 avril 2012. La formation se présente comme une combinaison de plusieurs modalités, : les 60 heures du tronc commun niveaux 1 et 2 se ramenant à 28h de formation présentielle (une division par 2), principalement dédiées aux synthèses, complétées par 10h de classe virtuelle et 22h de e-learning. Evaluation des connaissances acquises de rigueur, compte tenu de l’objet de la formation.
L’opérateur s’est préoccupé de la valeur que pouvait apporter chacune de ces modalités. Pour résumer : les connaissances fondamentales sont confiées au e-learning, les classes virtuelles visent à «ancrer» les connaissances (ancrage : nouveau "buzz word"), et l’entraînement est du ressort du présentiel. Cela reprend approximativement un schéma simplifié qui prévaut dans beaucoup d’entreprises : informations et connaissances supporté par le e-learning, savoir-faire confié au présentiel.
Productivité et souci d’efficacité obligent : les modules e-learning ont été normalisés sous forme de séquences présentant une mise en situation sous forme de dessin animé, des apports de connaissances mariant images et voix, des exercices, une évaluation sommative. Bien qu’obéissant à un planning rigoureux qui empêche de se former «n’importe quand», au contraire donc du e-learning, les classes virtuelles restent relativement souples : durée réduite de l’ordre d’une heure à heure 1/2 environ… et l’on n’a pas besoin de se déplacer. Quant au présentiel, principalement dédié à des cas concrets, il permettra notamment d’approfondir ce qui aura été mal compris et de revenir sur l’ensemble du parcours de formation.
Verdict sous forme d’un questionnaire de 100 questions aléatoirement triées parmi 400 questions : plus de 70% de bonnes réponses, inscription à l’ORIAS acquise !
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