Qui aurait cru que le français trônerait fièrement parmi les facteurs clés de performance des entreprises ? Pourtant, c'est bien ce que révèle l'étude exclusive de Féfaur x Frello dont les résultats détaillés seront dévoilés le 3 avril prochain lors d'un webinaire exceptionnel.
La langue française : négligée, à tort
Le français, cette compétence qu'on tient pour acquise, se révèle être un véritable grain de sable dans la machine organisationnelle. L'étude Féfaur x Frello en dévoile quelques facettes troublantes : 40 % des répondants pointent du doigt des lacunes significatives dans leur entreprise. Les conséquences ne sont pas anodines. Communication interne entravée pour 63 % des sondés, compréhension des consignes compliquées qui déraille pour 42 %, productivité qui s'effrite pour 26 %. Voilà le triptyque funeste d'une maîtrise insuffisante de la langue de Molière. Le plus paradoxal dans cette affaire ? Malgré ces signaux d'alerte, les compétences linguistiques brillent par leur absence dans la plupart des plans de développement stratégiques. Comme si nous étions collectivement frappés de cécité face à ce facteur pourtant déterminant de notre efficacité collective. La vérité est plus nuancée : nous savons, mais nous feignons de ne pas voir. Car affronter le problème exigerait des actions concrètes, des investissements tangibles, une réorganisation des priorités de formation. En somme, un effort que beaucoup préfèrent éviter.
Rendez-vous le 3 avril : dissection d'un tabou
Pour en démêler les fils et explorer les solutions, Michel Diaz (Féfaur) vous convie à un webinaire-table ronde le 3 avril à 11:00. Il sera entouré de Lydie Lepage (Brioche Pasquier), Karine Poizat (Groupe AGPM) et Louis Rapilly (FRELLO) pour disséquer une réalité dommageable et longtemps ignorée. Au menu : décryptage des résultats complets de cette enquête qui bouscule les idées reçues et proposent des pistes concrètes pour transformer cette faiblesse en avantage compétitif. L'occasion de confronter des approches différentes mais complémentaires : la vision pragmatique d'une entreprise agroalimentaire, l'expérience d'un groupe d'assurance pour qui la précision des termes est vitale, et l'expertise d'une EdTech spécialisée dans le développement des compétences linguistiques. Un plateau qui promet des échanges riches, des perspectives croisées et, surtout, des solutions applicables sans délai dans vos organisations respectives. Les questions qui fâchent seront posées, les réponses ne seront pas édulcorées.
Des chiffres qui font réfléchir
L'enquête dévoile d'autres réalités peu flatteuses : 71 % des organisations ne testent pas le niveau de français lors des recrutements ou mobilités internes. Un aveuglement volontaire ? Une négligence coupable ? Plus révélateur encore, 63 % des entreprises naviguent sans boussole, ne disposant d'aucun suivi spécifique de ces compétences. Une sorte de pilotage aux instruments… sans instruments ! Comment prétendre améliorer ce qu'on ne mesure même pas ? Comment justifier des investissements en formation linguistique sans données probantes sur les lacunes à combler ? Comment évaluer le retour sur investissement de ces actions sans référentiel initial ? L'étude pointe également du doigt un phénomène générationnel que beaucoup observent sans oser le nommer : un fossé linguistique croissant entre les générations. Les plus anciennes, formées dans un contexte éducatif où la rigueur grammaticale et l'expression écrite tenaient une place prépondérante, côtoient désormais de jeunes talents élevés au numérique et aux modes de communication instantanés. Deux mondes, deux cultures, deux approches de la langue qui peinent parfois à se comprendre et à collaborer efficacement.
Une équation délicate à résoudre
Manque de temps (49 %), ressources financières limitées (39 %), difficulté à identifier précisément les besoins (27 %) : le trio infernal qui freine la mise en œuvre de solutions adaptées. Pourtant, des approches émergent : digital learning (42 %), micro-apprentissage (34 %), formations présentielles (32 %)... Michel Diaz et ses invités vous proposeront, lors de ce webinaire, d'élargir le champ des possibles et de partager les stratégies qui fonctionnent réellement. Car oui, des solutions existent ! Des dispositifs flexibles, adaptés au rythme intense de nos organisations modernes. Des approches combinant le meilleur du présentiel et du digital, pour maximiser l'engagement sans sacrifier la commodité. Des parcours personnalisés qui ciblent précisément les compétences linguistiques à développer selon le profil et le métier de chaque collaborateur. L'étude révèle d'ailleurs que 64 % des répondants considèrent l'évaluation initiale des compétences comme une caractéristique essentielle d'un dispositif de formation idéal. Une évidence qui, paradoxalement, est rarement mise en pratique dans les organisations.
L'heure de vérité
La langue française, trop longtemps considérée comme un acquis naturel, révèle qu'elle est une compétence stratégique dont la maîtrise collective conditionne la performance d'ensemble. Le développement des compétences en français mérite-t-il enfin de figurer en bonne place dans l'agenda RH ? Le webinaire du 3 avril pourrait bien vous en convaincre définitivement. Car derrière les chiffres et les statistiques se cache une réalité tangible : des collaborateurs qui peinent à exprimer clairement leurs idées, des équipes qui interprètent différemment les mêmes consignes, des clients qui s'impatientent face à des communications approximatives, des opportunités commerciales qui s'évanouissent faute d'une proposition rédigée avec précision et élégance. Le coût caché de cette négligence linguistique est probablement bien supérieur aux investissements nécessaires pour y remédier. Reste à le quantifier, à le rendre visible, à l'intégrer dans nos équations économiques. C'est précisément ce à quoi s'attacheront les intervenants du webinaire du 3 avril.
[Inscrivez-vous sans attendre au webinaire du 3 avril à 11:00 !]
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