Généralisation du besoin de compétences linguistiques, contribution à la performance du business… Le plan de formation linguistique est devenu prioritaire en entreprise ; toute l’information nécessaire, benchmarking y compris, se trouve dans l’étude 7Speaking x Féfaur qui sera restituée le 10 juin…
Le besoin de compétence linguistique se généralise, avec en ligne de mire l’interculturalité
Longtemps, on a cru la compétence linguistique réservée aux dirigeants ou aux cadres de certains services. L’image de ces professionnels toujours entre deux aéroports, sautant d’une réunion à l’autre où ils s’expriment dans un anglais impeccable… Force est de constater qu’il ne s’agit plus désormais que d’une image d’Epinal. Le nombre de locuteurs concernés par la pratique professionnelle de l’anglais, par exemple, ne cesse de croître. Tous les secteurs d’activité sont concernés, y compris ceux qui semblent les plus localisés (très parisienne, la RATP doit s’assurer d’une capacité a minima des agents de sécurité à communiquer en globish avec les touristes qui empruntent ses rames).
Dans les entreprises, y compris les plus petites, auxquelles le Web a ouvert les marchés internationaux, nombreux sont les collaborateurs qui devront à un moment, au moins au téléphone ou en Visioconférence, échanger dans une autre langue. (On pourrait ajouter que l’anglais, dont on a longtemps pensé qu’il suffirait, pourrait se trouver en concurrence avec notamment le mandarin, langue d'une économie majeure, ou d’autres langues poussées par l’émergence des nouveaux nationalismes.)
Connaître une langue, on le sait, doit prendre en compte son substrat culturel qui permet, lorsqu’on échange, d'éviter les impairs. On ne se présente pas, on ne vend pas, on ne se comporte pas à table de même façon aux États-Unis qu’en Espagne, au Japon ou en Arabie Saoudite. La compétence linguistique doit embarquer ce minimum d’interculturalité, voire le désir d’en avoir plus sur l’histoire, la géographie, les mœurs, l’économie des pays avec lesquels l’entreprise et ses collaborateurs va commercer.
La compétence linguistique conditionne la performance individuelle et collective des organisations
Connaître une langue pour connaître une langue… Ce peut être une fin en soi, en effet, comme le montre le projet d’apprendre le grec ancien ou le latin (avec toujours il est vrai, ce désir d’une ouverture à la civilisation correspondante). Mais, on apprend en général une langue pour son utilité, parce qu’elle améliorera le confort des échanges internationaux, la productivité ou la probabilité de réussite, par exemple dans la signature d’un contrat commercial.
Il faut retenir ce qu’on oublie souvent : la performance d’un certain nombre de métiers est conditionnée à la mise en pratique de compétences linguistiques - lesquelles ne sont donc pas un « supplément d’âme », mais bien un facteur important de compétitivité. Avec une difficulté qui survient immédiatement : pour se motiver à apprendre une langue efficacement, rien de mieux qu'un projet professionnel de mise en pratique à court terme ; mais, l’apprentissage d’une langue se fait plutôt dans un temps long.
Une étude pour faire le point et dresser son plan de formation linguistique
Généralisation du besoin de compétences linguistiques, contribution effective de ces compétences à la performance du business… On aura compris qu’il est prioritaire, pour les organisations, de se doter d’un plan de formation linguistique efficient et optimisé. Encore faut-il s’armer de quelques principes, notamment issus des entreprises qui ont réussi dans ce domaine : l’étude 7Speaking x Féfaur vient répondre à ce besoin de benchmarking.
Les résultats en seront présentés en avant-première le 10 juin 2021 à 11 h dans un webinaire animé par Olivier Magnin, Directeur général de 7Speaking, un leader européen de la formation linguistique à distance, et Michel Diaz, Senior Analyst de Féfaur, co-auteur de l’étude, avec le point de vue / témoignage opérationnel de l’IFCAM - Crédit Agricole.
Les participants recevront gracieusement le rapport complet de l’étude 7Speaking x Féfaur : « Quelle est la contribution de la formation linguistique à la performance de votre organisation ? »
Pour s’inscrire : 20 questions sur l’impact de la formation linguistique sur le business
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