Un Livre Blanc co-signé Féfaur et Kumullus sur ce nouveau “blended learning orienté video”, ou comment capitaliser sur l’infinitude des ressources vidéos actuelles et à venir et les usages qui en résultent, sans renier la pédagogie qui doit donner du sens dans ce foisonnement.
Capitaliser en formation sur l’usage universel de la vidéo
Les offres des services formation sont en concurrence avec toutes les ressources pédagogiques gratuites ou non, souvent de grande qualité, accessibles sur le web un PC, smartphone ou tablette… Plutôt difficile de capturer l’attention des apprenants ! Solution : annexer à la formation le format vidéo qu’ils plébiscitent dans leur consommation du web (la vidéo générera plus de 85% du web en 2020, selon Deloitte ; 52% des employés utilisent d’ores et déjà Youtube pour leur formation, selon Towards Maturity).
Deux autres raisons sont soulevés par les auteurs - Michel Diaz (Féfaur) et Guillaume de Maison Rouge (Kumullus) : “votre cerveau aime la vidéo” et “la vidéo renforce l’engagement”… chiffres à l’appui : consultation d’un post social qui contient une vidéo : +300%, et +96% d’ouverture pour un mail qui offre une vidéo, selon invisia.com.
Contenus additionnels et chapitrage
Il ne suffit pas d’insérer des vidéos dans un parcours de formation, voire d’en faire les seules ressources d’un learning portal pour que les formations atteignent leur objectif. D’abord, il s’agit pour le service formation de s’assurer que ces nouvelles ressources soient produites en nombre et de qualité et de pertinence suffisantes. Ensuite il faudra distinguer entre les contenus essentiels (les messages que l’on veut voir retenus) et les compléments qui peuvent prendre diverses formes (texte, podcast, e-learning… ou video learning !). Ce principe - des contenus additionnels d’approfondissement - est mis en œuvre dans la plateforme Kumullus. Il est sans doute appelé au plus grand avenir, comme il en va de l’autre principe de chapitrage utilisé ici : la vidéo doit pouvoir être découpée, “séquencée” en grains pédagogiques qui entreront ainsi plus facilement dans la constitution des parcours de formation.
Le Vidéo Learning Augmenté, nouvel allié du pédagogue
C’est à cette double condition - contenus additionnels et chapitrage - que les services formation pourront capitaliser en formation sur les usages de la vidéo. Une double condition qui a trouvé son expression : le Vidéo Learning Augmenté, dans lequel les pédagogues peuvent voir un allié à même de donner du sens à la formation tout en contenant le risque du zapping effréné qu’on peut constater dans l’utilisation du web.
Par ailleurs, ce “VLA” peut “travailler” aujourd’hui sur l’abondance infinie des ressources vidéos déjà mentionnée, qu’elles soient progressivement produites par les experts de terrain en interne dans l’entreprise, ou qu’elles soient récupérables sur le web (en prenant soin de vérifier les droits d’utilisation). Vidéo sur mesure ou vidéo générique, traitant par exemple des soft skills nécessaires dans l’ère digitale : le Vidéo Learning Augmenté permet de construire rapidement et à moindre coût des parcours de formation engageants, un blended learning orienté video, dès lors que les pédagogues décident de s’approprier la méthode et les outils.
Pour en savoir plus et télécharger le Livre blanc : Le Vidéo Learning Augmenté, nouvel allié des responsables formation
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