C’est à l’entreprise de se donner les moyens de fédérer son écosystème autour des compétences de ses salariés, en les motivant, en les valorisant et en leur permettant de partager leurs compétences !
Apparu depuis plusieurs années, et largement utilisé aujourd’hui aux Etats-Unis, le Social Learning a pour vocation essentielle de permettre aux salariés de partager leur savoir et expérience. Si pour la majorité des entreprises françaises, ce concept n’est pas encore devenu une réalité, elles sont pourtant conscientes des bénéfices qu’elles peuvent en attendre, et particulièrement en termes de rapidité d’acquisition des compétences et de réduction du temps de formation. Je ne développerai pas ici ces atouts, puisqu’ils sont devenus une évidence !
En revanche, le marché parle peu ou pas du tout de l’utilisateur, qui est pourtant au centre de la problématique de formation. Je suis convaincu qu’en impliquant le salarié plus fortement dans son parcours de formation, de manière ludique et pédagogique, les solutions d’e-learning offrent aux entreprises un outil efficace pour accroître de manière exponentielle les bénéfices de la formation. D’autre part, je suis persuadé que la motivation des employés d’une entreprise à se former se fonde sur deux facteurs clés : l’émulation et la reconnaissance. Ce sont les deux moteurs d’ambition de toute personne qui travaille.
Alors, comment l’apprenant peut-il valoriser sa formation ? Comment peut-il atteindre des objectifs clairement énoncés ? Comment peut-il partager ses compétences au bénéfice du plus grand nombre ?
C’est à l’entreprise de se donner les moyens de fédérer son écosystème autour des compétences de ses salariés, en les motivant, en les valorisant et en leur permettant de partager leurs compétences. Le Social Learning est LA réponse, ou plus précisément les outils intégrés dans les solutions d’e-learning, concourant à répondre à ces questions.
Par exemple les « certificats de compétences » ou « badges » qui permettent à l’apprenant de valoriser « officiellement » ses compétences et de les rendre visibles auprès du plus grand nombre. En France ces badges, qui reconnaissent des compétences acquises, ne sont pas ou peu souvent mis en valeur, alors qu’ils font partie intégrante du parcours professionnel du salarié dans d’autres pays, celui-ci le présentant comme un atout pour évoluer ou pour négocier sa rémunération !
Ou encore, via les réseaux sociaux d’entreprises qui autorisent les échanges et partages des connaissances de façon immédiate, non structurée et partout sur la planète 24h/24.
Je conçois le Social Learning comme un aboutissement du e-learning, en cela qu’il accélère la démocratisation de la formation, qu’il participe à la construction de l’ADN des entreprises qui mettent l’humain au centre de leurs préoccupations, et qu’il fait de la formation, souvent perçue comme contraignante, un outil motivant d’évolution professionnelle.
C’est dans cette optique que nous avons dès le début conçu et développé la solution Vodeclic.
Toutes nos actions s’inscrivent dans une vision stratégique, appuyée sur des innovations permanentes, que ce soit sur les technologies ou les concepts pédagogiques que nous appliquons pour aider nos clients à gagner en performance en développant les compétences bureautiques et digitales de leurs salariés.
Notre démarche, que je qualifierais d’anticonformiste, met l’utilisateur au centre d’un processus de liberté et d’adaptabilité qui lui permet de s’approprier son propre programme de formation. Outre le fait que cette démarche s’inscrit parfaitement dans les nouveaux usages et comportements au travail, elle valorise et responsabilise les collaborateurs, autant que l’entreprise elle-même, qui démontre ainsi sa volonté d’innovation et sa modernité.
N’oublions pas que dans le monde aujourd’hui, il y a 3 milliards d’internautes, 3,6 milliards d’utilisateurs de smartphones et plus de 2 milliards d’utilisateurs actifs des réseaux sociaux. Le Social Learning s’inscrit activement dans cet eco-système technologique en constante évolution !
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